Ciri était dans notre monde moderne. Elle avait trouvé refuge au sein d'une famille d'accueil. La vie y était tranquille, bien loin des ères guerriers qu'elle a pu rencontrer. Mais malgré tout, ce qui l'intéressait était les armes de notre monde. Comment pouvions-nous nous défendre sans épée ni armure, comment avons-nous pu en arriver là? Cela l'intriguait et c'est pour cela qu'elle s'est posée quelques temps dans notre univers. Elle espérait que Eredin la laisse en paix un moment. Toutefois, cela était trop espérer. Alors qu'elle écoutait de la musique via un casque qui n'était pas fait pour protéger mais bien émettre des sons, elle se rendit compte que la température chuta rapidement. Des cristaux de glace se formèrent alors sur les vitres de la fenêtre de sa chambre. Ciri arrêta brusquement sa lecture et se rua au rebord de la fenêtre. Un brouillard avait envahi l'allée résidentielle. Pas de doute, la chasse sauvage l'avait retrouvée. C'est alors qu'elle vit la petite fille des voisins jouer dans le jardin et s'enfoncer plus profondément dans la brume. Ciri s'empara de son épée, força pour ouvrir sa fenêtre et sauta de l'étage. Elle courut vers la pauvre enfant alors que des molosse de la chasse s'approchaient dangereusement d'elle, leurs yeux rouges luisant dans la brume. Elle agrippa l'enfant par le colback et se hâte de l'emmener chez elle. La porte était ouverte, elle jeta la fille sans ménagement, elle n'avait guère le temps pour faire dans la délicatesse. Les molosses étaient derrière elle. Elle le sentait. D'ailleurs, à peine put-elle fermer la porte qu'une des bêtes lui sauta dessus. Cependant, d'un geste lest et parfaitement maîtrisé, elle se tourna tout en s'abaissant, prenant de l'élan pour son épée pour terminer par une remontée fatale qui fissura et projeta le monstre de l'autre côté du jardin.  Une deuxième bête se rapprochait, ce n'était pas un problème. Ciri prit son élan et s’élança vers la première bête meurtri, pris appui sur celle-ci et s'envola dans les airs pour faire une fronde aérienne vers le molosse qui venait de pointer le bout de son nez, à l'appel de son camarade agonisant.

"Tu te débrouilles bien, s'écria une voie au milieu du brouillard. Mais combien de temps comptes-tu fuir? Combien de mondes innocents vas-tu nous forcer à investir pour te retrouver? As-tu déjà pensé à cela? Aux dommages que tu causes par ta sempiternelle fuite. Tu essaies vainement de protéger les gens comme cette misérable fille mais malgré toute ta puissance, tu ne peux les protéger tous." Alors que Ciri se mit en position défensive, prête à agir en cas de besoin, un objet roula à terre  vers sa direction. Il ne fallut pas longtemps au lionceau de Cintra pour reconnaître une tête humaine. "Vois le prix de ta fuite. Ce pauvre homme était juste dans cette rue, paisiblement, lorsque nos chiens lui ont broyés les os. Combien Zireael, combien? Combien ta conscience peut-elle accepter avant que tu te rendes compte que cette escapade ne t'amène à rien si ce n'est accumuler le nombre de meurtres...par ta faute.
- Ce...murmura Ciri, Ce n'est pas moi qui les ait tué!? cria-t-elle. C'est vous les monstres. Vous auriez bien fini par l'envahir une fois mon pouvoir entre vos mains. N'essayez pas de m'accabler.
- Tu n'es pas en mesure de comprendre l'importance du plan d'Eredin. Tu ne sais pas ce qui est en jeu." Caranthir sortit alors de la fumée, son bâton pointé sur elle. "Rends-toi sagement et toute cette souffrance prendra enfin fin.
- Jamais, je mettrai à terme à vos agissements.
- hahahah, j'aimerai bien savoir comment, railla Caranthir." Alors qu'il nargua Ciri, son bâton se chargea en énergie au vue de la lumière bleu qui s'y intensifiait. Ciri n'était pas de taille, pas seul, pas encore, elle ouvrit un portait vers son monde, alors que Caranthir lança une puissante vague de froid. Ciri s'engouffra dans le portail et dès son arrivée, sauta de côté pour éviter le sort. Elle s'empressa de fermer le portail mais la vague de froid était déjà en partie rentrer et avait gelé toutes les plantations sur environ un kilomètre ou deux.


Il y avait un village pas très loin de là. Les gardes voyant cela se hâtèrent vers la source du froid et y trouvèrent Ciri affalée au sol, fatiguée par la concentration et l'énergie que le portail a du nécessité. Les gardes l'arrêtèrent et lui mirent des menottes en diméritium. Ils l'amenèrent alors à la place du village où les paysans s'étaient attroupés. Alors qu'on la fit monter sur l'estrade, la foule s'écriait "Elle a détruit nos récoltes, comment va-t-on manger?". Le burgrave calma la foule. "Ma fille, j'ignore qui vous êtes mais vous êtes dans une situation plus qu'épineuse. Vous venez de détruire toute une saison de récolte alors que nos greniers ne sont déjà que peu fournit. Qu'avez-vous donc à dire pour votre misérable défense?
- Que ce n'est pas moi qui ait gelé toutes vos victuailles.
- Vraiment? Et qui d'autres alors? enchérit le burgrave. Car nos gardes n'ont signalés nul autre présence que la tienne, gueuse.
- La chasse sauvage m'a pourchassé. Alors que je tentais de les fuir, j'ai ouvert un portail vers ici mais un de leur sort de froid a suivi également." À l'évocation de la chasse, la foule eut un instant de choc.
"Hahaha, tu comptes t'en tirer avec des vieilles histoires de bonnes femmes. Cette histoire avec la chasse n'est qu'une fadaise. C'est des légendes, personne n'a vu de chasse sauvage ici.
- Vous n'avez jamais vu Emyr var Emreis non plus. Dites-vous que l'empereur du Nilfgaard n'existe pas?" Le burgrave la giffla. "Petite insolente. Je vais t'y reprendre à répondre de la sorte. De nombreuses sources sures évoquent Emyr, son existence ne fait aucun doute. Alors que la chasse sauvage, à part des contes pour effrayer les enfants, qui témoigne réellement de leur existence. Mais passons, car vois-tu, quoi qu'il arrive, tu es responsable quoi qu'il en soit du gel de nos denrées. Quand bien même je te suivrai dans tes délires, c'est bien toi qui a ouvert ce "portail" qui a guidé ce froid jusqu'ici." Le public hua Ciri toujours affaiblit. "Un portail et puis quoi encore, s'étonnait les gens dubitatifs.
- Oui, c'est vrai. Comment fais-tu pour ouvrir ce soit-disant portail?
- Je dois me concentrer, sentir l'énergie de ce monde, le canaliser, j'en appelle à tous mes sens et d'un geste de la main, j'ouvre un portail.
- Vraiment, pff. J'aimerai bien voir ça, tient.
- Je ne peux pas. Cela demande beaucoup d'énergies et cela m'affaiblit énormément. Je ne suis pas en état de me concentrer tout de suite.
- Sornette, ce ne sont que des bêtises, je le savais. Ainsi, je n'ai d'autres choix face à votre refus d'explication que de vous mettre au pilori." La foule scanda "Attachons la fermement quand même. Faut pas qu'elle nous échappe. Elle pourrait réouvrir un portail et tous nous geler.
- Du calme! Du calme, allons. Ne me dites pas que vous croyez à ses histoires enfin.
- Doit-on prendre le risque quand même? demanda un paysan. On n'a déjà plus de plantation, si elle s'attaquait aux greniers, ça sera fini et on ne passera pas l'hiver.  
- Je sais, ajouta un autre bouseux. On n'a qu'à la priver de ses sens. Elle a dit en avoir besoin pour ouvrir son portail.
- Oui, pas con, enchaîna un autre.
- Non, attendez, s'emporta Ciri mais les gardes la saisirent fermement.
- Enlevons lui ses vêtements, cela lui passera l'envie d'aller voir ailleurs, cria un gars une bière à la main". La foule approuva alors le burgrave d'un signe de tête ordonna à ses gardes de la déshabiller. Ils lui enlevèrent ses ceintures, mais n'eurent aucune pitié pour ses vêtements et lui arracha carrément la chemise et son pantalon. Elle tenta de se débattre mais elle était fermement maintenue. Alors qu'elle fut soulevée par deux gardes, un troisième fit tomber sa culotte bouffante et ses chaussettes. Le garde fit un peu le coq avec devant la foule. Il sentit la culotte, elle était relativement odorante, il la jeta dans la foule. Les hommes se battirent pour la récupérer. "Et que faires des chaussettes, mes chers amis?
- Baillonons la avec! s'écria une partie.
- Bonne idée.
- Arrêtez, cria Ciri, vous n'avez pas le droit!
- Tout comme tu n'avais pas le droit de mettre nos vies en sursis avec une mort horriblement lente qu'est la famine. Vas-y, Gert!" Le garde fit une boule avec les deux chaussettes et les lui enfoncèrent dans la bouche. Celle-ci était pleine. Deux chaussettes étaient trop pour elle. Elle était incapable de fermer la bouche à nouveau. Elle ne s'en était pas rendu compte mais avec les combats et la course plus le portail, elle avait bien transpiré. Et elle le sentait bien maintenant que ses chaussettes bien imbibées se retrouvaient dans sa bouche. On lui plaça un bout de tissu fermement serré autour de sa tête pour y maintenir les chaussettes à l'intérieur. On nouait le tissu, ils se rendirent compte qu'elle avait un étrange collier autour du cou. C'était son casque audio. Lorsqu'elle s'est levée précipitamment pour inspecter les lieux depuis la fenêtre, le choc l'avait débrancher du MP3 et l'avait fait tomber de sa tête pour arriver autour de son cou. Dans la précipitation et l'urgence, elle ne l'avait même pas relevé. Pour les gardes, ça ressemble juste à deux boules avec une tige. Le burgrave s'en emparait en demandant ce que c'était mais tout ce qu'elle put répondre fut des hmph humm pht. Le burgrave porta alors les boule à ses oreilles et entendit beaucoup moins la foule. "Hahaha, un étrange appareil pour ne plus rien entendre. N'est-ce pas formidable? Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te le voler, je vais même te le rendre. Quoi? Désolé, je n'entends pas, hahaha. Ho ne me regarde pas comme ça...En fait, ne me regarde pas du tout". Il fut un signe de la tête et un des gardes lui banda les yeux avec une bande noire opaque. La voilà plongée dans l'obscurité. Elle sentit alors quelque chose se poser sur ses oreilles et entendit beaucoup moins. Le burgrave venait de lui poser son casque sur les oreilles. Elle ne pouvait plus parler, voir ou entendre. Elle est l'incarnation unifiée des trois singes dont elle avait entendu parler dans un autre monde. La voici nue, ses seins balotant à mesure qu'elle se débat, privée de ses sens. Qu'est-ce qui pourrait arriver de pire? On la poussa et la força à s'incliner. Elle sentit une barre en bois se replier sur elle. La voilà clouée au pilori.  On lui écarta les jambes, lui mit des fers aux chevilles et désormais, elle n'était même plus capable de resserrer les jambes. Quel cauchemar!
"Félicitation! gueula l'homme à la bière. Maintenant que vous l'avez privée de ses sens, elle a tout le loisir de se concentrer et d'ouvrir son portail.
- C'est vrai, admit le burgrave. Hum...Que faire pour l’empêcher de se concentrer...Je sais! Amenez moi une chaînette et un poids." On lui apporta prestement ce qu'il demanda et il s'empara alors d'un des seins de Ciri qui pendouillait. Ciri sentit un frisson lui parcourir tout le corps. Il y accrocha un des bouts de la chaînette. Il passa celle-ci à travers l'anneau du poids et accrocha l'autre extrémité de la chaîne au téton de l'autre sein. Ciri sentit alors une traction sur sa poitrine. Elle essaya de gigoter mais chaque mouvement faisait s'agiter le poids et la chaîne tirant sur ses seins. Elle se sentit parcourir d'une vague de chaleur à chaque vibration.
"Bonne idée, cria le pochetron. Elle n'arrivera pas à se concentrer comme ça. On voit pourquoi t'es le burgrave.
- Ouais enfin elle peut toujours faire son geste de la main, coupa le forgeron. Si vous voulez, je peux lui clouer chaque doigt au pilori pour plus qu'elle puisse les bouger mais ça ne sera pas gratuit tant ça va me coûter du fer et du temps. Mais mieux vaut pas prendre de risque et punir comme il se doit celle qui va faire qu'on mangera moins cette hiver." Face aux cris soutiens de la foule, le burgrave, bien que réticent à devoir dépenser quelques pièces pour ça, céda et c'est ainsi que resta pendant un long moment notre pauvre Ciri. Humiliée et privée de tous ses sens, devant tout le village. Des gardes montèrent la garde pour pas qu'elle s'échappe mais également pour éviter que des gens se rapprochent d'elle. Pauvre Ciri, finalement Caranthir lui fit beaucoup plus de mal que ce qu'elle aurait pu imaginer. Elle se jura ce jour là de lui faire la peau.



English version :

Ciri was in our modern world. She found an home in a host family. Life was quiet, far away from warriors'eras that she used to experienced. But still, what interested her was the weapons of our world. How could we defend ourselves without sword or armor, how did we get that? This intrigued her and that's why she had decided to stay some time in our universe. She hoped Eredin left her in peace for a while. However, this was too much to hope. While listening to music through headphones, she realized that the temperature dropped down quickly. Ice crystals was forming on the windows of the bedroom. Ciri suddenly stopped reading and rushed to the window sill. A fog had invaded the residential driveway. No doubt, the wild hunt had found her. Then she saw the little girl next door playing in the garden and sink deeper into the mist. Ciri seized her sword, forced to open its window and jumped to the floor. She ran to the poor child while hound hunting dangerously approached her, their red eyes glowing in the mist. She grabbed the child by the busby and hastened to bring her home. The door was open, she threw the girl bluntly, she lacked time for the delicacy. The hounds were behind them. She felt it. Besides, as soon as she closed the door, a beast jumped over her. However, with a ballast and perfectly mastered gesture, she turned while lowering taking the momentum to her sword to end with a fatal ascent which cracked and threw the monster on the other side of the garden. A second beast was close, it was not a problem. Ciri gathered momentum and rushed to the first wounded beast, took support on it and flew into the air to make an aerial sling to the mastiff who had just point the tip of his nose to the call of his dying comrade.

"You're doing well, cried a voice through the fog. But how long do you intend to flee? How many innocent worlds are you going to force us to invest to find you? Have you ever thought about that? Those damages you caused by your eternal flight. You vainly try to protect people like that wretched girl but despite all your power, you can not protect-all. " While Ciri take her defensive position, ready to act if needed, an object rolled down towards her direction. It was not long before the young leon of Cintra recognize a human head. "See the price of your flight. The poor man was just in this street peacefully, when our dogs have crushed his bones. How much Zireael, how much? How your conscience can endure before you realize that this escape will brings you nothing except accumulate the number of dead by... your fault.
- This ... whispered Ciri, it's not me who killed him !? She shouted. It is you, monsters. You would have eventually invade this world once my power will be in your hands. Do not try to overwhelm me.
- You are not able to understand the importance of the plan of Eredin. You do not know what is at stake. "Caranthir then came out of the smoke, pointed his stick on her." Surrender yourself wisely and finally all this suffering will end.
- Never, I will put an end to your actions.
-.. Hahahah, I'd like to know how", quipped Caranthir. While taunted Ciri, his staff undertook energy in view of the blue light that intensified it. Ciri was not strong enought yet, not alone, she opened a portal to her world, while Caranthir launched a powerful wave of cold. Ciri rushed into the portal and as soon as she arrived, she jumped aside to avoid the speal. She hastened to close the gate but the cold wave was already gone and froze all plantations around a kilometer or two.


There was a village near by. The guards saw this, hurried toward the source of the cold and found Ciri slumped to the ground, exhausted by the concentration and energy that the portal needed. The guards arrested her and put her dimeritium's handcuffs. Then they took her to the village square where farmers had gathered. So we took her up on the platform, the crowd cried "She destroyed our crops, how will we eat?". The burgrave calmed the crowd. "My girl, I do not know who you are but you are in a terrible situation. You just destroyed an entire harvest season when our granaries are already provides little. What have you to say for your miserable defense?
- That's not me who has frozen all your victuals.
- Really? And who else then? bids the burgrave. Because our guards have reported no other presence than yours, pig.
- The Wild Hunt chased me. While I tried to flee, I opened a portal to here but their cold spell also followed. "At the mention of the hunt, the crowd was a shock moment.
"Hahaha, you are not gonna get out with old stories of old women. This story with the wild hunt is only a twaddle. That's legends, no one saw the wild chase here.
- You've never seen Emyr van Emreis either. Did you tell me  that the emperor of Nilfgaard does not exist? "The burgrave slap her." Impertinent cheeky. Many sources suggest Emyr's existence but the wild hunt, except tales to frighten children, nothing really shows their existence. But let's move on, because you see, whatever happens, you're responsible anyway for the freeze of our products. Even I will follow you in your delusions, it is you who opened the "gate" that guided this cold before. "The public boo Ciri, still weak." A gate and then what, wondered skeptical people.
- Yes, it's true. How do you manage to open this so-called portal?
- I have to concentrate, feel the energy of this world, channeling, I appeal to all the senses and in a hand gesture, I opened a gate.
- Really, pff. I would love to see it.
- I can not. It takes a lot of energy and it weakens me greatly. I am not able to concentrate immediately.
- Fiddlestick, these are just nonsense, I knew it. So I do have other choices regarding your refusal to explain that put you in the stocks". The crowd chanted "Let's tied her tightly. She must not escape. She could reopen a portal and we all freeze.
- Calm down! Relax. Do not tell me you believe her stories.
- Should we take the risk anyway? asked a peasant. We have not much left. If she attacked the barns, it's over and we do not last the winter.
- I know, added another bumpkins. She should deprive her from her senses. She said she need it to open the gate.
- Yes, not dumb, add another.
- No, wait, Ciri was angry but the guards firmly grasped.
- Let's remove her clothes, it will pass her the desire to go elsewhere, shouted a guy with a beer in hand "The crowd approved loudly, the burgrave, with a nod, ordered his guards. They undress her.. stripped off her belts, but had no pity for her clothes and downright, snatched the shirt and pants. she tried to struggle but was held firmly. While she was raised by two guards, a third had dropped her panties and socks. The guard showed them proudly to the crowd. He felt the panties, she was quite fragrant, threw it into the crowd. The men fight to recover it. "And what are we gonna do with her socks, my Dear friends?
- Gag her with it! cried some.
- Good idea.
- Stop, shouted Ciri, you do not have the right!
- Just as you did not have the right to put our lives on borrowed time with a painfully slow death, the starvation. Come on, Gert! "The guard made a ball with both socks and plunged it into her mouth. It was full. Two socks were too much for her. She was unable to close her mouth again. She didn't realized until now but with the fighting and racing over the gate, she had much sweating. And she felt that very well now that her well-soaked socks were in her mouth. They add a piece of strong fabric tightly around her head to keep the socks inside. By gagging her, they realized she had a strange necklace around her neck. It was her headphone. When she rose hurriedly to inspect the premises from the window, the shock had unplug the MP3 and had fallen it from her head to get around her neck. In the haste and urgency, she had not even noticed that. To the guards, it just like two balls with a rod. The burgrave took possession asking what it was but all she could answer was the hmph humm pft. The burgrave then carried the ball in his ears and heard much less crowds. "Hahaha, a strange device to not hear anything. Isn't that great? Do not worry, I won't rob you, I'll even give it back to you. What? Sorry, I can not hear hahaha. Ho do not look at me like that ... In fact, do not look at me at all. " Then he make a nod and one of the guards blindfolded her with a solid black band. She was plunged into darkness. She felt something land on her ears and heard alot less. The burgrave had just put her headphones on her. She could not speak, see or hear. She is the incarnation of the unified three monkeys which she had heard in another world. Here naked, her breasts jingling as she struggles, deprived of her senses. What could be worse? We was pushed and forced to bow. She felt a wooden bar turn inward. She was pilloried. They spread her legs, put irons on her ankle and now she was not even able to tighten the legs. What a nightmare!
"Congratulations! yelled the man with the beer. Now that you have deprived her of her senses, she has every opportunity to focus and to open her portal.
- Yes, admitted the burgrave. Hmm ... What to do to keep her from concentrating ... I know! Bring me a small chain and weight. "They brought him hastily what he asked and then he grabbed a breast of Ciri dangling. Ciri felt a shiver run through her entire body. He hung there one end of the chain. He passed it across the ring of the weight and caught the other end of the chain to the nipple of the other breast. Ciri then felt a pull on her chest. She tried to wriggle but every move was stir weight and chain pulling her breasts. She felt browse by a heat wave at each vibration.
"Good idea, called the alcoholic. She won't be able to concentrate like that. We can see why you're the burgrave.
- Yeah, well, she still can make the gesture of the hand, cut the blacksmith. If you want, I can nailed her in the stocks for each finger so that she couldn't move it but it will not be free because it will cost me iron and time. But better not to take risks and punish appropriately the one that will make you eat less this winter. "Faced with the cries of the crowd support, the burgrave, although reluctant to have to spend some pieces for it, accepted. Poor Ciri. humiliated and deprived of all senses, in front of the whole village. Guards stood guard to prevent her from escaping but also to avoid that people get closer to her. Finally Caranthir hurt her much more than she could have imagined. She swore that day to have her revenge.